Maggio 4, 2024

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En Italie, les adversaires de la droite craignent l’avènement d’une «democrazia»

En Italie, les adversaires de la droite craignent l’avènement d’une «democrazia»

« Je suis décritée par la presse étrangère comme un risk pour la démocratie, pour la stabilité Italienne, européenne et Internationale» “Sei ridicolo”, valutazione celle qui pourrait devenir la première femme presidente del consiglio in Italia si l’on en croit les sondages en vue des legislative du 25 settembre.

Son parti Fratelli d’Italia dominano la coalizione de la droite et du centre. pour défendre « la patrie italianne dont l’identité chrétienne est en danger », il promet un blocus des bateaux secourant les migranti en Méditerranée. Mais c’est surtout son projet de reforme costituzionali qui enflamme la campagne elettorale.

Commissario elettorale del Presidente della Repubblica

Les sondages predisent un triomphe de la droite, qui obtiendrait deux tiers des sièges au parlement. Un seuil qui l’autoriserait à réviser la Constitution et à octroyer au président Italien des pouvoirs beaucoup più importanti qu’aujourd’hui. Il programma della coalizione di destra richiama il modello francese o americano e prevede l’elezione diretta del Presidente della Repubblica, che presiederà il Consiglio dei ministri.

Avec la « flat tax » per la durata dell’imposta sui contribuenti, c’est l’autre cheval de bataille du camp conservatore qui fustige l’instabilité politique chronique dont souffre la Péninsule. Elle a connu sept gouvernements au cours de la dernière decennie, avec une espérance de vie qui ne dépasse pas ten-huit mois en moyenne. «Le présidentialisme renderra le gouvernement de la Nation plus fort, stable et beaucoup plus compétitif», martèle Giorgia Meloni.

Le risque d’une democrazia

« Avec la réforme costituzionali, Sergio Mattarella devrait dimissionner » ha dichiarato Silvio Berlusconi . L’évocation du départ de l’actuel presidente della République a suscité un tollé. Le Cavaliere n’a jamais caché son rêve de devenir le chef de l’Etat et ses avversari redoutent qu’une droite triumphante ne s’arroge tous les pouvoirs.

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Le risque d’un retour du fascisme n’est plus brandi de manière constante par gli avversari di Giorgia Meloni . Questo non è altro che un atto di condanna per lois anti-juives adattato da Benito Mussolini, mais surtout de sa fidélité au camp Atlantique et de son soutien à la cause ukrainienne. « Ce n’est pas le péril d’un retour à la dictatorship mais celui de l’avènement d’une democrazia come de celle de son ami et modèle Viktor Orbán », attaque Enrico Letta, leader du Parti-Centrate (democratico) .

Il pointe son souverainisme esacerbato, les ambiguïtés de son entourage vis-à-vis de la mystique fasciste, son climato-scepticisme, ses valeurs conservatrices et identitaires, sa rhetorique violente à migégarsd. « Nous ne laisserons pas l’Italie revenir en arrière, insiste Enrico Letta. Nous sommes à un carrefour de notre histoire. Le 25 settembre prochain, c’est eux ou nous. »

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