l’Agriculture au nord du pays peine à irriguer les champs

Produzione: 19/07/2022 – 18:38

De notre sentée spéciale dans la plaine du Pô,

« Ce que l’on voit en face, c’est une très Grande plage de sable ». Une lande de terre ev milieu du po presse de ferrare o la vegetazione au le temps de pousser : le sign que, mame en hiver, sette partie en pas ede immergie, explica etagre calderonisteroni e irrigazione locale. « On n’a jamais vu cette plage prendre une telle dimension. Su Pourrait presque traverser le Pô à pied. Dans beaucoup de ports de plaisance, comme celui-là, les embarcations ne peuvent plus sortir. »

Le syndicat a dû réduire ses prélèvements de 20% car le faible débit du Pô e d’autres conseguenze quelques chilometri più en aval : le fleuve n’empêche più l’eau de dans de soniter.

« Ça, c’est l’effet du sel. Il remonte par capillarité et brule la plante », exlique Stefano Calderoni qui se désole devant les champs de soja d’un de ses colleghi. « L’absence de pluie accentua la remontée du sel dans le terrain. S’il avait plu, 100 mm come les autres années, ce pénomène ne serait pas survenu. Là-bas en revanche, la tache que l’on voit est Due au fait qu’ils ont irrigué sans controller la salinité de l’eau : ils ont brûlé les champs eux-mêmes. Mais les plants seritan mortes sans eau! »

Plus en amont, en Lombardie, pas de salinité, mais un approvisionement réduit. A differenza d’autres, les champs de mais d’Ettore Grecchi restent verts. Le Danger Get Suretout Les Cultures Tardives, Oxquelles Curies et Renons : « Quelques téméraires s y sont risqués, d’autres ne se sont pas sentis d’anticiper desspendes avec le risque de ne pas pouvoir irriguer ».

Ettore Grecchi espère que le flux d’eau provenant du lac de Côme ne sera pas réduit davantage : il n’atteint déjà plus que 45 % de ce à quoi le consortium d’giirrigation, lossit basset habit.

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